A l’occasion des Jeux Olympiques de Paris 2024, la marque d’horlogerie suisse Omega endossera le rôle de chronométreur officiel des Jeux pour la 31e fois. Avant de chronométrer les performances des athlètes dans plus de 300 épreuves réparties sur 28 sports, Omega a avant tout su bâtir une réputation d’excellence.
L’histoire du partenariat Omega x Jeux Olympiques
Omega devient pour la première fois chronométreur officiel des Jeux Olympiques en 1932 lors des Jeux Olympiques de Los Angeles, sans savoir qu’un partenariat de longue date était en train de naître. Présent à presque toutes les éditions, Omega a su établir une relation durable avec le Comité International Olympique (CIO). En 2017, ils ont d’ailleurs signé un accord prévoyant une reconduction de ce partenariat jusqu’en 2032, pour les XXXVe Olympiades.
Après plus 90 ans d’expérience, les méthodes de chronométrage ont largement évolué. Alors qu’un seul horloger muni de 30 garde-temps suffisaient en 1932, aujourd’hui 450 tonnes d’équipement et une équipe d’experts sont déployées pour l’intégralité des Jeux. Niveau précision, la marque est à présent en capacité d’enregistrer des résultats au millième de seconde près contre un dixième de seconde en 1932.
L’innovation technologique au service de la performance
La réputation d’Omega en matière de fiabilité et de précision la conduit à devenir gardienne du temps olympique. Au fil des années, la marque suisse Omega a contribué à de nombreuses innovations technologiques lui permettant de se hisser au sommet du chronométrage sportif de précision et de gagner la confiance des athlètes. Retour sur quelques moments marquants de l’histoire d’Omega :
En 1948 à Londres, l’ère de l’horlogerie électronique fait son apparition et rend les résultats plus précis avec d’une part les cellules photoélectriques qui enregistrent le moment exact du franchissement par les athlètes de la ligne d’arrivée. D’autre part, la caméra photo-finish “Magic Eye” qui affiche l’ordre exact des participants à la fin d’une épreuve.
En 1964 à Innsbruck, l’Omegascope est une révolution dans la façon de regarder les Jeux Olympiques. Cet appareil incruste au bas de l’écran de télévision le temps réel des athlètes lors des retransmissions sportives. Ainsi, les téléspectateurs deviennent rapidement informés des résultats des épreuves se déroulant à distance.
En 1968 à Mexico, Omega lance les plaques de touche en natation. Chaque nageur peut arrêter lui-même son chronomètre en fin de course d’un simple geste de la main. Par cette innovation, il n’est plus nécessaire de placer des arbitres au bord du bassin.
En 1984 à Los Angeles, Omega a mis en place le premier détecteur de faux départs. Extrêmement sensible, l’appareil fonctionne en évaluant la pression exercée par chaque coureur contre les starting blocks.
La personne qui donne le coup d’envoi à l’image des westerns est un symbole des Jeux Olympiques. Cependant, un problème de taille demeure : le son se déplace plus lentement que la lumière. De ce fait, l’athlète le plus proche perçoit le signe de départ une fraction de seconde plus tôt que ses adversaires. Ainsi, lors des Jeux Olympiques d’hiver de Vancouver de 2010, Omega lance le pistolet de starter électronique, pour résorber les inégalités. Ce pistolet révolutionnaire émet un signal sonore et un flash lumineux parfaitement synchronisés rendant le dispositif plus performant que les pistolets traditionnels. Le pistolet est connecté aux hauts-parleurs situés derrière chaque athlète donc tous vont entendre le signal de départ en même temps.
La légitimité de ce fidèle partenaire des Jeux Olympiques n’est plus à démontrer. Au fil des éditions, Omega n’a cessé de perfectionner ses chronomètres repoussant sans arrêt les limites de l’excellence. Grâce à leur précision inégalée et leur capacité à capturer les performances sportives les plus subtiles, les chronomètres Omega contribuent à la grandeur des Jeux.
Une vitrine unique pour une marque de luxe
La présence de la marque suisse lors d’un tel événement sportif mondial revêt une importance capitale pour son image de marque. Elle bénéficie d’une grande visibilité pour démontrer son savoir-faire technique et présenter ses nouvelles collections.
Par ce partenariat la marque incarne les valeurs olympiques que sont l’amitié, le respect et l’excellence. Au-delà d’un simple sponsor, Omega endosse le rôle d’une marque engagée qui célèbre la performance sportive, favorise des compétitions justes et équitables et inspire les athlètes à atteindre l’excellence. En enregistrant tous les records, Omega honore les athlètes qui se préparent durement aux compétitions sportives.
Dans cette lignée de marque horlogère de choix dans le domaine du sport, Omega a noué des partenariats avec des athlètes de renommée internationale. De nombreux sportifs de haut niveau sont devenus des ambassadeurs qui incarnent les valeurs de la marque comme le célèbre nageur américain Michael Phelps, athlète olympique le plus médaillé de l’histoire des Jeux Olympiques. En hommage à cette légende de la natation, Omega imagine la montre Seamaster Planet Ocean “Michael Phelps”, limitée à seulement 280 exemplaires, en référence au nombre de médailles remporté par l’athlète. Le choix de la montre Seamaster dans cette édition n’est pas surprenant car elle est spécifiquement conçue pour les activités aquatiques et incarne la passion pour le sport nautique.
En attendant les Jeux Olympiques de Paris 2024, à vos montres, prêt, partez !